Après plus de 5 millions de vues pour sa Symphonie Confinée, et 4 ans de tournée avec ses camarades des Goguettes (en trio mais à quatre), Valentin Vander revient en solo avec un second album Mon étrangère. Son univers est un véritable champ d’expérimentations entre introspection mélancolique, panache pop et élégance discrète. L’auteur-compositeur-interprète, élevé dans une famille de musiciens, use d’armes de séduction massive tout au long de ce nouveau chapitre.

Entre espièglerie, profondeur et constat éclairé sur les relations sentimentales qui lient les êtres, il insuffle une couleur mélodique qui capte dès la première écoute. On trouve alors, au gré des chansons qui jalonnent l’album, ce petit quelque chose d’unique dans sa personnalité joliment désabusée qui n’oublie jamais d’opter pour la dérision. Ici, les émotions priment et semblent inédites, comme si la mélancolie avait embrassé une forme de légèreté.