Sophia Aram
Le monde d'après
Lieu : Centre Culturel Yves Furet
Humour | Durée : 1h10
Tarifs : plein : 30 € | réduit & CE : 25 € | abonné : 22 €
Tarif plein également en vente sur les réseaux : Fnac, SeeTickets et TicketMaster
En vente à partir du 29 septembre
Réservations : 05 55 89 23 07
Après avoir commencé l’improvisation théâtrale au lycée, puis le théâtre avec la compagnie du Théâtre du Sable, Sophia Aram écrit pour la télévision avant d’entamer une carrière seule en scène avec un premier consacré à l’école Du plomb dans la tête, le deuxième consacré aux religions Crise de foi. Parallèlement elle anime une chronique humoristique dans la matinale d’Inter. Après un détour par France 2 Jusqu’ici tout va bien, elle retrouve la scène et la radio avec un spectacle sur la montée des extrêmes et les replis identitaires Le fond de l’air effraie. Sophia poursuit son observation de la société à travers ses chroniques radiophoniques, le cinéma Neuilly sa mère aux côtés de Jérémy Denesty, Samy Seghir, Denis Podalydès et Valérie Lemercier sous la direction de Jamel Bensalah. Après son très apprécié ‘‘À nos amours…’’, elle revient investir la scène du Centre Culturel Yves Furet pour notre plus grand plaisir.
Pour son 5ème spectacle, Sophia Aram a choisi de s’amuser avec la dinguerie d’une époque réussissant l’exploit de ressusciter les timbrés que l’on croyait oubliés et d’en inventer de nouveaux qui n’ont rien à envier aux premiers. Elle dédie donc ce spectacle aux antivax découvrant l’innocuité d’un faux pass-vaccinal face à un vrai virus, aux petites bourgeoises le cul bien moulé dans leurs leggings venant expier leurs vacances à Courchevel en faisant la promotion d’un islam rigoriste qu’elles n’auront ni à subir ni à combattre.
Mais aussi aux antisémites décomplexés par la grâce d’un candidat réussissant l’exploit d’être juif et pétainiste, aux gilets jaunes venus vomir leur bière sur la tombe du soldat inconnu, aux complotistes, aux populistes et aux décérébrés qui les excusent autant qu’ils les utilisent. Aux poutinolâtres qui, après avoir crié tous les samedis à la dictature dans notre pays, admirent la poigne d’un autocrate sans foi ni loi…